Phénomène: 20ème anniversaire du décès de Freddy Mercury, partie 2

Simon Fitzbay présente sa chronique à thématique musicale «Phénomène» tous les jeudis à 8h dans Assemblage Requis. Cet article a fait l’objet d’une chronique dans l’émission du 1er décembre 2011. Il est présenté tel qu’il a été écrit par son auteur.

Messieurs, nous nous sommes laissé la semaine dernière alors que Queen et son leader, Freddie Mercury surfait sur leur succès avec une musique à la fois riche et extrêmement ROCK grâce aux album A Night at the Opera, A day at the Races, Sheer Heart Attack ainsi que l’album qui à permis à Queen de renaître dans les années 1980 : The Game. Freddie est alors (et toujours) une véritable Bête de Scène qui arrive à conserver un ton juste malgré l’alcool et les drogues qu’il pouvait s’envoyer avant les concerts. A la fin des années 1970, Freddie Aborde la moustache comme un véritable roi et est au sommet de sa popularité. Cette semaine, nous verrons comment Queen s’en est tiré dans les années 1980 et 1990, la carrière solo que Mercury ainsi que ça fin terrible dû au Sida.

Queen commence les années 1980 en étant au sommet de sa popularité. Pendant la tournée promotionnelle de l’album The Game, le groupe marque l’histoire en étant le premier groupe rock d’envergure à emplir un stade de football sud américain en plus de donner cinq concert de suite en argentine attirant plus de 300 000 personnes.

Une bonne façon de comprendre le phénomène qu’était Queen à l’époque est d’écouté une pièce du groupe lors de son fameux concert de 1981 à Montréal qui à été lancé sous forme de CD/DVD en 2007.

Pour ajouté à cette popularité, Queen enregistre une de ses pièce les plus populaire des années 80, une collaboration avec David Bowie qui passait simplement dans le coins le jour de l’enregistrement de cette chanson : Under Pressure.

Malheureusement, le tout va bientôt se gâté alors que le groupe s’envole pour Munich dans le but d’enregistré leur nouvel album Hot Space, un album beaucoup plus pop que les album précédent qui comportait beaucoup d’élément de funk et de R&B. Brian May et Roger Taylor, respectivement guitariste et batteur de la formation, n’étaient pas satisfait du nouveau matériel du groupe mais Freddy Mercury est totalement sous le contrôle de son propre gérant Paul Prenter. L’homme avait une vision assez bizarre de l’industrie. En effet, il ne croyait pas à l’influence des station de radio et de la télévision sur le public. Donc, Queen à cessé toute apparition à la radio et à la télévision sauf une petite exception alors que le groupe se joue pour l’ouverture de la 8e saison de Saturday Night Live.

Le groupe décide de prendre congé de la tournée après 10 années consécutive en 1983 alors qu’ils retournent plutôt en studio pour travailleur sur leur onzième album studio : Works, qui sera lancé en 1984. Il s’agit d’un album qui combine les succès Radio Gaga, Hammer to Fall et l’exécrable : I Want to Break Free que j’abhorre personnellement.  Works est un album qui n’arrive pas à ce classé sur les palmarès et déçoit également les fans pure et dur de Queen qui ne se retrouvait plus dans ces sont de synthétiseurs. De plus, la même année, le groupe donne un concert en Afrique du Sud, en plein apartheid alors que les artistes refusait de jouer dans ce pays ségrégationniste. Il fut lourdement critiquer malgré le fait que le groupe aie insisté sur le fait que la foule était mixte.

Heureusement pour Freddie et sa bande, tout vas pour le mieux en 1985. Le chanteur s’est débarrassé de son gérant de peu de flair et le groupe joue deux soirée consécutive dans le cadre du festival Rock in Rio devant 300 000 personnes les deux soirs. Pourtant, à cause du scandale africain, le groupe à perdu leur confiance en soi.

Le groupe arrive à se racheté pour sa bourde d’Afrique du sud.Le 13 juillet 1985 à lieu le Live Aid, un concert télédiffusé à travers le monde pour aider à amasser des fonds pour contré la famille. 1,9 milliards de téléspectateur étaient à l’écoute pour ce moment de télé historique alors que Queen vole le show dès leur arrivée en scène à 6h41. Les 72 000 personnes entassés dans le stade de Wembley chante et vibre au son de Freddie Mercury qui démontre à la planète entière qu’il est l’homme de la situation. Pendant ces 25 minutes, Freddie Mercury dirige la planète.

1985 est également la date de sortie su premier album solo de Freddie Mercury, Mr. Bad Guy, un album qui est orienté autour du disco et de musique dance.

L’année suivante, le est engagé pour faire la trame sonore d’un film indépendant nommé Highlander. De cette collaboration nait l’album A little Kind of Magic sur lequel on retrouve la pièce-titre ainsi que les succès Friends Will Be Friends ainsi que la pièce Who Wants to live forever qui allait devenir éloquente à la situation de Mercury quelques années plus tard.

La même années, le groupe entreprend ce qui allait devenir une de ses plus populaire tournée ainsi que sa dernière avec le roi Freddie. La tournée A kind of Magic est une des plus importante de l’histoire alors que le groupe joue deux soirs au stade Wembley et, à défaut de pouvoir le remplir une troisième fois à cause d’indisponibilité à la fin de la tournée, le groupe convie 120 000 fans à Knebworth Park pour ce qui sera la dernière performance live de Freddie Mercury.

Le groupe décide de prendre congé pendant l’année 1987 Freddie enregistre le simple The Great Pretender originalement des Platters ainsi  qu’avec la soprano Montserrat caballé  pour créé l’album Barcellona qui mélange des éléments pop et d’opéra. Malgré que les critiques trouvent cet album «bizarre» il est un succès commercial lorsqu’il arrive dans les bacs en 1988.

Pendant l’année 1988, la rumeurs commence à tournée que Freddie Mercury pourrait être atteint de la nouvelle maladie qui frappe la planète entière de plein fouet, le SIDA. C’est une maladie qui frappait alors le milieu homosexuel et on connaissait les habitudes folages de Mercury qui apparaissait de plus en plus amaigris avec des traits dur dans le visage. Pourtant, il dément la rumeur en assurant à la presse qu’il à changer son style de vie depuis que l’épidémie à commencé puisque plusieurs de ses amis proche sont décédé des suites du Sida. Son ami de coeur, Jim Hutton, à été diagnostiqué séropositif un peu après pâque de 1987.

Malgré tout, la rumeur continue et Freddie ne peut le caché à son groupe et leur annonce la nouvelle comme si de rien était et insiste sur le fait qu’il ne veut pas que ça s’ébruite et qu’il tient à continuer à faire de la musique comme si de rien était. Queen décide donc de mettre ses différences artistique de côté et commence à travailler en fou. Il lance The Miracle en 1989 ainsi que l’album Innuendo en 1991. Malgré sa maladie de plus en plus présente, Freddie arrive à enregistré malgré le fait qu’il aie du mal à marché.

Après les enregistrements d’Innuendo, Freddie s’enferme chez lui pour évité la presse et ses questions incessante. Finalement, il admet avoir contracté le SIDA dans un communiqué de presse rédigé sur son lit de mort le 23 novembre 1991. Il meurt 24 heures plus tard d’une pneumonie.

On à lourdement jugé Mercury pour ne pas avoir annoncé avant sa mort qu’il était atteint du SIDA. On disait alors qu’il aurait pu aider la cause et qu’il aurait même sauvé des vies en parlant de ses expérience. Par contre, d’autres l’ont fait pour lui moins d’un ans après sa mort.

Le 20 avril 1992, Queen, Def Leppard, Guns N’ Roses, Elton John, David Bowie, Annie Lennox et Metallica font parti des artistes qui rendent hommage à Queen au Stade Wembley, le même stade que celui du Live aid dans lequel se retrouve 72 000 fans pour rendre un dernier hommage au plus grand chanteur rock de l’histoire. 1.2 milliards de personne écoutent le concert à la télé et plus de 20 000 000 de dollars ont été amassé pour combatre le sida.

Freddie Mercury à rocker le monde avec sa musique, sa fougue et sa prestance. Sa perte à été extrêmement douloureuse pour tous les fans de musique rock. Le 24 novembre 1991, le monde du rock n’a pas seulement perdu le chanteur de Queen, il à perdu un des plus grand showman de son histoire et son Roi.

Mathieu Plante
Animateur, producteur, créateur. Audio, vidéo, balados. Humour noir. @assemblagerequis

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